LES TEXTES À DGIB

  ><><><><><><>< >< L'amour du marin-pêcheur et de la fleuriste >< Dans un petit village côtier de la Bretagne, où les vagues frappaient violemment les falaises de granit et où l'air salin caressait les joues des habitants, vivaient deux âmes destinées à se rencontrer : Gilda, marin pêcheur, et Gwen, fleuriste. Gilda, homme robuste au teint hâlé par le soleil et le vent marin, passait ses journées à bord de son bateau, sillonnant les eaux tumultueuses à la recherche des poissons argentés qui brillaient sous la surface. Sa force physique cachait une sensibilité rare, perceptible dans le soin qu'il portait à son travail et dans son regard bleu océan, empreint de pensées profondes. Gwen, quant à elle, était une femme au sourire lumineux, ses cheveux blonds formant une cascade dorée qu'elle nouait souvent en une tresse. Sa passion pour les fleurs transparaissait dans chaque bouquet qu'elle composait avec une délicat

  Ma grand-mère disait : Ne va pas là où tu n'es pas invité. Ne parle pas de ce que tu ne connais pas Occupe-toi de tes affaires. N'ouvre pas le réfrigérateur chez les autres. N'appelle pas après 22 heures. Ne rendez pas visite à quelqu'un à l'heure du déjeuner. N'entrez pas dans la chambre d'autrui sans permission. C'étaient les règles du savoir-vivre et elles le restent, car l'éducation n'est jamais démodée.

  ><><><><><>< >< En Bretagne, quand l'orage s'allie avec la mer >< Quand l'orage s'allie avec la mer furieuse, Aux rivages bretons, la bataille est capricieuse, La nuit se drape d'éclairs, le tonnerre en symphonie, Les flots montent en une danse frénétique et infinie. Les vagues, en guerrières, frappent les rocs aiguisés, Le vent, en maelström, hurle les secrets du passé, Les embruns salés peignent le ciel en tourbillon, Mais la Bretagne, tenace, fait corps avec l'horizon. Ses falaises fières se dressent en résistantes, Chaque grain de sable chante la légende envoûtante, Des marins bravent l'ouragan, leurs cœurs battent en cadence, Leurs visages burinés reflètent la déterminance. Les phares, tels des veilleurs, percent la nuit épaisse, Guidant les âmes perdues vers la terre qui les presse, Les chapelles anciennes prient sous la tempête divine, Et les bretons, unis, murmurent des chants en sourdine. Le jour se

  - Quand ciel et terres de Bretagne ne font plus qu'un - Quand ciel et terres de Bretagne ne font plus qu'un, Ode sous le souffle des vents lointains, Naissent des brumes au matin blafard, Le silence parle, un doux murmure rare. Là où les landes s'étirent, mystiques, Et les falaises se dressent, critiques, La mer s'élance, amante farouche, Pour heurter le roc, pour baiser la bouche. Les ajoncs dorés par le soleil couchant, Chantent des légendes aux cœurs incertains, Des korrigans dansant sous la lune, Des luttes, des amours, des forteresses perdues. Le ciel se fond, d'abord timide, Dans les étendues d’herbe fluide, Gris et bleu se mêlent au vert, Partageant un secret, un mystère offert. Sur les sentiers battus par l’histoire, Chaque pierre murmure sa mémoire, Les dolmens figés, gardiens du passé, Et les menhirs dressés, en prière muselée. Les marées, complices de l’horizon, Apellent la terre avec passion, S’unissant dans une danse sacrée, Scellant leur pacte, à jam

  - L' amour est un poème - L'amour est un poème, une douce symphonie, Où chaque mot murmuré devient mélodie. Il est fait de vers tendres et de rimes enflammées, Un langage secret que seuls les cœurs savent chanter. Aimer est une poésie, une danse éternelle, Où chaque geste est une strophe, une tendresse nouvelle. C'est un chant des âmes qui se cherchent et s'unissent, Un souffle dans l'ombre, une lumière complice. L'amour est un poème, une promesse sacrée, Écrite sur la peau, gravée dans l'éternité. Les lèvres qui se touchent, les regards qui se croisent, Forment un sonnet divin qu'aucune force n'écrase. Aimer est une poésie, une cascade de sentiments, Qui roule dans le cœur, emportant le temps. C'est le printemps qui fleurit dans chaque sourire, Une ode céleste où l'on apprend à s'ouvrir. L'amour est un poème, un rêve en plein éveil, Un univers mystique où chaque étoile s'émerveille. Il est un livre ouvert, dont les pages sont r

  ******* - A CARNAC, COURSE DE MENHIRS - Il fut une nuit à Carnac, un homme nommé Joseph Lecudrolec. Après avoir consommé de nombreux verres de chouchen, il rentrait chez lui tard dans la nuit. Sa démarche était chancelante et sa vision floue. Au détour d'un virage, il vit les menhirs alignés. Dans son état d'ébriété, il s'imagina que ces pierres ancestrales étaient prêtes à prendre le départ d'une course. N'écoutant que son courage (et peut-être l'effet du chouchen), Joseph se joignit à eux sur la ligne de départ. Le coup de feu retentit dans sa tête et la course commença. Les menhirs, malgré leur poids et leur taille, semblaient courir à une vitesse incroyable. Joseph, titubant et zigzaguant, tentait de les suivre comme il le pouvait. Il trébucha, se releva, trébucha à nouveau, mais ne renonça jamais. Il courait avec les menhirs, riant et criant de joie. Les menhirs, impassibles, continuaient leur course silencieuse. Joseph, malgré sa démarche chancelante, se

  ********* - LES CÔTES D'ARMOR - Sur les rivages des Côtes d'Armor, Où les vagues et le vent se disputent l'honneur, Les falaises se dressent, fières et sans remords, Veillant sur la mer, dans un éternel labeur. Les granits roses, témoins des âges, Racontent des histoires de marins et de voyages, Sous le ciel changeant, tantôt gris, tantôt azur, Ils se tiennent là, immuables et si purs. Les phares, sentinelles de la nuit, Guident les âmes perdues vers l'abri, Leurs lumières dansent sur l'océan infini, Comme des étoiles filantes, un doux sursis. Les ports, animés par les cris des mouettes, Accueillent les bateaux chargés de promesses secrètes, Des pêcheurs rentrent, les mains pleines de trésors, Offrant au monde les fruits généreux de leur effort. Et les plages, aux sables dorés et fins, Invitent au repos, aux jeux et aux refrains, Des enfants qui courent, des châteaux qui s'élèvent, Dans l'insouciance d'un été qui sans cesse se relève. Oh, Côtes d'

  *********** - L'ILLE-ET-VILAINE - Sur les rives de l'Ille et la Vilaine, Où les eaux se mêlent en douce haleine, S'étend un paysage de rêve éveillé, Un tableau vivant, délicatement voilé. Les villes et les champs dansent en harmonie, Rennes, joyau fier, brille sous la pluie. Les forêts murmurent les secrets d'antan, Et les châteaux veillent, élégants et puissants. Les marées de Saint-Malo, capricieuses, Battent les remparts, vagues audacieuses. Cancale offre ses huîtres, perles de la mer, Et Dinard se pare de son air altier. L'Ille-et-Vilaine, terre de légendes, Où chaque pierre et ruisseau prétend, Racontant l'histoire d'une Bretagne fière, Qui dans le cœur de ses enfants, prospère. Les voiles des bateaux caressent l'horizon, Et les pêcheurs chantent en chœur leurs chansons. La brise marine souffle un air de liberté, Sur l'Ille et Vilaine.

  ********** - LE FINISTÈRE - Au cœur de l'Armorique s'étend un pays, Où la terre et la mer se mêlent sans mépris, Finistère, ton nom évoque les confins, D'une terre fière, battue par les vents marins. Tes côtes déchiquetées, sentinelles de granit, Veillent sur l'océan, où le soleil s'unit, À l'horizon infini, en un tableau parfait, Où chaque coucher de soleil, est un secret dévoilé. Les phares, tels des gardiens, érigés dans la houle, Guident les marins, dans la nuit qui les frôle, Ouessant, Sein, Batz, tes îles comme des joyaux, Scintillent sur l'azur, bravant les flots. Le vent souffle les récits des anciens, Des légendes celtes, empreintes du divin, La lande fleurie, le gorse en floraison, Tisse un manteau d'or, sous le ciel en fusion. Finistère, terre d'embruns et de mystère, Où les chapelles et calvaires, témoignent de la prière, Des hommes et des femmes, aux racines profondes, Qui dansent et chantent, leur amour pour cette ronde. Et dans les

  ********** - LE MORBIHAN - Au cœur de la Bretagne, terre de légendes, Se dresse le Morbihan, aux mille merveilles, Où l'océan embrasse le ciel sans fin, Et les îles se cachent dans la brume matinale. Dans le golfe, les eaux dansent avec le vent, Les voiliers glissent, tels des fantômes élégants, Le Morbihan, "petite mer" en breton ancien, Chante les récits des marins et des pécheurs d'antan. Vannes, sa préfecture, gardienne du temps, Ouvre ses portes sur l'histoire et le présent, Ses remparts témoignent d'un passé glorieux, Et ses jardins fleuris murmurent des airs joyeux. De Carnac à Quiberon, le granit se fait mystère, Les alignements de menhirs défient les ères, Silhouettes figées, veillant sur la lande, Ils murmurent à l'oreille des vents les secrets de la lande. Le Morbihan, cœur battant de la Bretagne, Où chaque pierre et chaque vague raconte une saga, Terre de caractère, de culture et de fierté, Ton héritage est un trésor pour l'éternité.

  ********* - LES CÔTES BRETONNES - Sur les côtes bretonnes, le vent se mêle aux vagues, Dans un ballet sauvage, où l'écume s'élève en pavanes. Les falaises se dressent, gardiennes de granit, Face à l'assaut constant, du puissant Atlantique. Les goélands crient, dans le ciel de Bretagne, Tandis que les phares veillent, tels des sentinelles d'opale. Les marins bravent les flots, avec courage et envie, Guidés par l'étoile Polaire, et le chant des sirènes oubliées. Les landes de bruyère, d'un pourpre délicat, S'étendent à l'infini, comme un tapis pour les fées. Et dans les ports de pêche, les bateaux colorés, Racontent mille histoires, de tempêtes et de paix. La Bretagne mystique, de légendes et de pierres, Où chaque rocher a une âme, chaque vague un secret. Les côtes bretonnes, un poème gravé par le temps, Un hymne à la nature, fier et résistant.

  *********** - NON, NON, ce n'est pas un coup de gueule !! Amis Bretons d'ici et d'ailleurs, il n'y a pas d'âge requis pour être un militant breton. Personnellement, à 67 ans, originaire de Trégenestre (22), je suis la 8ème génération du côté paternel (du 35) et la 7ème du côté maternel (des Côtes-d'Armor( ex côtes du nord)). Mes enfants représentent la 9ème génération et mes petits-enfants, la 10ème. À 14 ans, l'aînée est déjà très fière de cet héritage. Mon point de vue n'est pas celui d'un historien et je suis loin de prétendre l'être. Il existe de véritables historiens de la Bretagne. Je vous encourage à les lire et à les écouter, car ils détiennent certainement une partie, sinon la totalité, de la vérité. L'identité bretonne, symbolisée par le drapeau Gwen ha du, ne demande pas grand-chose. Ce drapeau, créé en 1925, a une histoire riche – je vous invite à découvrir le parcours de son créateur ! C'est notre drapeau et nous devons en

  ********* - NOS PETITS PORTS DE BRETAGNE - Dans la douceur des matins bretons, Où la brume caresse les pavés, Les petits ports s'éveillent en frissons, Sous le regard des goélands égarés. Les bateaux colorés, alignés en cadence, Bercent les rêves des marins endormis, Leurs coques vernies, reflets d'espérance, Dansent au rythme des vagues infinies. Les filets déployés, tels des toiles d'artiste, Capturant l'or bleu de l'océan profond, Chaque maille tissée d'histoires optimistes, Raconte les légendes d'un monde vagabond. Les quais animés, théâtre de vie quotidienne, Où se mêlent accents, rires et chants marins, Les embruns salés, parfum de la semaine, Imprègnent l'air du goût du large sans fin. Et quand le soleil, en fin de journée, Teinte l'horizon d'un orange passionné, Les petits ports de Bretagne, éclairés, S'endorment paisiblement, dans la beauté préservée.