LES TEXTES À DGIB

 John était un jeune homme ambitieux, qui rêvait de devenir écrivain. Il avait grandi dans une petite ville rustique, où les perspectives d’avenir étaient limitées, mais cela n’avait jamais affecté sa détermination à aller de l’avant. Il avait travaillé dur sur ses compétences en écriture et avait envoyé ses œuvres à plusieurs éditeurs, mais sans succès. Cependant, au lieu de se décourager, John avait choisi de prendre chaque obstacle comme une opportunité d'apprendre. Il avait compris que tomber n'était pas un échec, mais une expérience, une opportunité d'ajuster sa vision et de s'améliorer davantage. Il avait repris son stylo et avait continué à écrire, sachant que chaque tentative le rapprochait de son rêve. Finalement, il avait eu sa chance. Un éditeur avait accepté son premier livre, une aventure fantastique qui a rapidement connu un succès retentissant. Cependant, avec le succès, sont arrivées les critiques négatives, les fans déçus, les attaques en ligne. D'a

 Au fond de l'océan, dans une petite crique cachée, vivait un charmant petit couple de poissons : Lola et Léo. Ils s'étaient rencontrés quelques mois plus tôt lors d'une plongée en profondeur et avaient depuis lors été inséparables. Chaque jour, Lola et Léo se promenaient dans les eaux cristallines de la crique. Ils échangeaient des baisers doux et tendres et se câlinaient sous les rayons chatoyants du soleil. Leur amour était si fort que même les autres poissons de la crique leur enviaient leur complicité et leur bonheur. Ils nageaient ensemble à toute vitesse, s'amusant comme deux jeunes enfants insouciants. Lola et Léo passaient des heures à jouer ensemble, à explorer les petites grottes dorées et les récifs coralliens enlacés. Ils s'adonnaient également à des préliminaires amoureux et tendres dans l'algue, entrelaçant leurs corps et s'embrassant fougueusement. Cependant, un jour, une bande de pirates, qui cherchait un refuge pour leur trésor, est arrivée

  - A CARNAC, LA JEUNE FILLE ET LE BOURGEOIS - Dans la belle ville de Carnac en Bretagne, une jeune fille de 20 ans du nom de Marie. Elle était connue de tous les habitants pour sa beauté singulière et son sourire éclatant. Elle aimait passer ses journées à se promener sur la plage et à ramasser des coquillages avec ses frères et soeurs. Un jour, alors qu'elle était en train de cueillir des fleurs sauvages dans la campagne environnante, elle rencontra un absolu étranger, un bourgeois de Paris. Il était grand et élégant et portait des vêtements chics qui le distinguaient des habitants de Carnac. Ils commencèrent à discuter et rire ensemble, et Marie sentit une connexion instantanée avec lui. Au fil des semaines, elle le rencontra souvent et ils explorèrent les environs ensemble. Malgré leurs différences de classe sociale, leur amitié grandit et, avant qu'ils ne le sachent, il est tombé amoureux de Marie. Elle essaya de le repousser, sachant qu'un mariage entre une Carnacoise

  - SI "CON" ÉTAIT UN MÉTIER, IL Y AURAIT MOINS DE CHÔMEURS- De nos jours, si être con était un métier, il y aurait très peu de chômeurs. Malheureusement, ce n'est pas le cas et pourtant, nous ne pouvons pas nier la présence de certains individus qui semblent s'acharner à faire voir à tout le monde qu'ils ont réussi haut la main leur examen de connerie. Il y a ceux qui, dès le réveil, se lèvent du mauvais pied et ne peuvent s'empêcher de faire des choses idiotes. Déjà, ils se trompent de savon sous la douche, confondent leur dentifrice avec leur crème solaire, et finissent par mettre du café sur leur céréale. Ils sont souvent en retard, ce qui les incite à lancer des affirmations telles que "Le temps, c'est de l'argent !". Ce qui, selon eux, justifie leur conduite irresponsable en voiture, les réunions qu'ils manquent et les gens qu'ils blessent. Il y a aussi ceux qui sont tellement fiers de leur idiotie qu'ils décident de la pa

 - A OUESSANT, LES AMANTS DE LA MER - Il fut il y a quelques années, à Ouessant, une jeune femme nommée Juliette. Elle vivait sur cette île isolée, a l'ouest de la Bretagne, depuis toujours. Juliette était une âme solitaire. Elle aimait la mer, ses tempêtes, ses marées. Elle aimait la sentir brûler contre sa peau et entendre les cris des mouettes qui la survolaient.  Un jour, elle rencontra un pêcheur nommé Étienne. Il était beau, fort et avait des yeux verts comme l'océan les jours de grand calme. Juliette ne put résister à son charme et tomba éperdument amoureuse de lui. Ils passaient des heures ensemble, se promenant sur les côtes, les plages, ou en bateau. Étienne lui montrait les secrets de la mer et Juliette lui confiait ses peurs, ses doutes, ses envies. Ils étaient les amants de la mer et rien ne semblait pouvoir les séparer. Pourtant, un jour, Étienne ne revint pas de sa journée de pêche. Juliette attendit, jour après jour, en scrutant l'horizon, mais il ne revint

 - UN RÊVE OU UNE RENCONTRE - J'étais assis sur la jetée du port de Quiberon, les yeux fermés en laissant le doux parfum de la mer m'envelopper. Les vagues s'écrasaient doucement contre les rochers et le soleil éclatant chatoyait au loin, illuminant une journée parfaite. Soudain, j'ai senti une main douce et chaude se poser sur mon épaule. J'ai ouvert les yeux et j'ai vu une belle femme souriante se tenir devant moi. Elle portait une robe blanche, légère, flottant au vent, et ses cheveux bruns volaient autour de son visage comme des rubans. "Je suis désolé, j'espère ne pas vous avoir dérangé", a-t-elle dit. "Mais j'ai senti que je devais venir vous parler. Je suis Johanna." Nous avons parlé pendant des heures, debout sur la jetée. Nous avons parlé de la mer, de la vie, de nos rêves, et nous avons ri ensemble, nous sentant en paix et heureux. Le soleil a commencé à se coucher, illuminant chaque nuage dans une explosion de couleurs vi

 - LES PARFUMS DE MA MER - Assis sur le muret de la plage de Carnac, je contemplais la mer s'étendre à perte de vue. Mes yeux fixaient les vagues qui se brisaient doucement sur le rivage, tandis que mes narines se remplissaient du doux, tendre et puissant parfum de l'océan. L'atmosphère était calme, paisible. Je n'avais que le bruit des vagues et la douce caresse du vent dans mes oreilles. Le parfum de la mer m'envoûtait, me transportait dans un autre monde, un monde où je me sentais libre et serein. Je restai là, immobile, les yeux perdus dans l'horizon. Les lueurs rougeoyantes d'un coucher de soleil s'étendaient à l'ouest, offrant un spectacle imposant sur la mer. Les mouettes volaient haut dans le ciel, se faisant écho les unes aux autres. Leurs cris mélangeaient ces doux effluves de sel iodé. J'étais seul, dans cette quiétude absolue. Mais je ne me sentais pas isolé, bien au contraire. La mer était ma compagne, m'entourant de sa présence