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Affichage des articles du avril, 2024

CREPES ET GALETTES

  ********** ** CREPES ET GALETTES DE BRETAGNE** Dans la cuisine bretonne, parfumée et chaleureuse, S'agitent les crêpières, l'ambiance est joyeuse. Les crêpes s'envolent, dorées et fines, Comme des voiles au vent, légères et divines. Les galettes se reposent, brunes et croustillantes, Garnies de fromage, d'œuf, ou de saucisse tentante. Elles racontent des histoires de terre et de mer, De sarrasin robuste, de saveurs sans frontière. La crêpe sucrée, douce comme un baiser, Se pare de confiture, de sucre, ou de miel doré. Elle danse dans les assiettes, une valse sucrée, Un délice qui fait chanter les papilles émerveillées. La galette salée, fière et rustique, Accueille les palais avec sa magie authentique. Elle se plie en quatre, pour le plaisir des gourmands, Une tradition bretonne, un goût du temps. En Bretagne, les crêpes et galettes sont reines, Elles réunissent les familles, les amis, sans peine. Autour d'une table, les rires se mêlent aux saveurs, Les crêpes et

Dgib: MENHIRS DE BRETAGNE

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  - MENHIRS DE BRETAGNE - Dans la lande bretonne sous le ciel infini, Se dressent les menhirs, gardiens de granit. Ils pointent vers les cieux, silhouettes de légende, Témoins muets d'un temps où la magie s'étend. Ces géants de pierre, alignés avec soin, Par des mains oubliées, au cœur d'un ancien coin. Ils murmurent au vent des histoires anciennes, De druides et de fées, dans la brume matinale. Leurs ombres s'allongent avec le déclin du jour, Sur la terre celte, ils veillent sans amour. Mystérieux et fiers, ils défient les âges, Les menhirs de Bretagne, énigmes sans visages. Chaque pierre est un vers d'un poème non écrit, Une ode à la nature, un chant presque maudit. Dans la nuit étoilée, quand la lune est claire, On pourrait presque voir, les esprits solitaires. Ils dansent autour des menhirs, en une ronde éternelle, Célébrant la vie, la mort, la ritournelle. Les menhirs de Bretagne, majestueux et sauvages, Restent là, immobiles, à travers les orages.

Dgib: LE FANTOME D'ERDEVEN

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  **Le Fantôme de la Plage d'Erdeven** Dans un futur lointain, la plage d'Erdeven était devenue un lieu de légendes. Les habitants des colonies spatiales environnantes racontaient l'histoire d'un fantôme qui hantait ses rivages, un spectre né des vagues et de la brume. Chaque soir, lorsque le soleil disparaissait derrière l'horizon et que les étoiles commençaient à scintiller dans le ciel nocturne, une silhouette éthérée émergeait des flots. Elle glissait sur le sable, laissant derrière elle une traînée de lumière phosphorescente. Les anciens disaient que c'était l'esprit d'un astronaute, perdu dans une mission d'exploration interstellaire, dont le vaisseau s'était écrasé dans l'océan des siècles auparavant. Son âme, incapable de trouver le repos, revenait sur la plage d'Erdeven, cherchant son chemin vers la maison qu'il n'avait jamais pu retrouver. Un groupe de scientifiques, intrigués par ces apparitions, décida de mener une enq

AMOUR & PENVENAN

  ********** - LEUR AMOUR EST NÉ À PENVÉNAN - Dans le village breton de Penvénan, bordé par la mer et caressé par le vent, l'histoire d'Amélie et Yann a pris racine. Dans ce petit village de Penvénan, une jeune femme nommée Amélie, connue pour ses yeux aussi profonds que l'océan et son sourire aussi lumineux que les matins de printemps. Elle tenait une petite librairie héritée de ses parents, un lieu chaleureux où les mots dansaient entre les pages des livres anciens. Yann, quant à lui, était un peintre qui capturait la beauté sauvage de la Bretagne sur ses toiles. Ses doigts couraient sur la toile comme le vent sur les vagues, et chaque coup de pinceau était un hommage à la terre qui l'avait vu naître. Leurs chemins se sont croisés un jour de marché, où Yann était venu vendre ses peintures. Amélie fut captivée par une toile représentant le phare de Ploumanac'h, baigné par une lumière dorée du crépuscule. Elle s'approcha, et leurs regards se rencontrèrent. Ce

LES GARDIENS DE BRETONIX

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  ********** - Les Gardiens de Bretonix - Chapitre 1: Le Réveil des Menhirs Depuis des millénaires, les menhirs de Bretagne se dressaient, immobiles et silencieux, sur les landes venteuses. Les légendes les entourant étaient nombreuses, mais aucune n'avait jamais évoqué la vérité qui allait bientôt éclater au grand jour. Un soir d'équinoxe, un grondement sourd ébranla la terre. Les menhirs se mirent à vibrer, leurs veines de granit pulsant d'une énergie ancienne. Les korrigans, petits êtres de légende, émergèrent de l'ombre, leurs yeux brillant d'une lueur surnaturelle. Ils étaient les gardiens d'un secret ancestral : les menhirs étaient en réalité des fusées, construites par une civilisation de korrigans supérieurs. Chapitre 2: L'Évacuation Les korrigans révélèrent leur mission aux habitants incrédules de Bretagne. Une catastrophe cosmique menaçait la Terre, et il était temps d'évacuer. Les menhirs s'ouvrirent pour dévoiler des cabines spacieuses,

Dgib: L'ABBAYE DE SAINT MICHEL EN THIERACHE

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voici un poème dédié à l'Abbaye de Saint-Michel en Thiérache : ``` Dans la vallée où l'Aisne serpente doucement, Se dresse fièrement un joyau du passé, L'Abbaye de Saint-Michel, si élégamment, Contre le temps, elle a vaillamment lutté. Ses murs ont entendu des prières s'élever, Des chants grégoriens s'échapper vers les cieux, Chaque pierre, un récit, prête à raconter, Des moines, des pèlerins, des jours pieux. Les arcs gothiques, témoins de l'art divin, S'élancent vers le ciel, en quête d'infini, Les vitraux colorés filtrent le soleil fin, Et peignent de lumière l'intérieur béni. Le cloître, en silence, abrite la méditation, Un jardin secret où fleurit la création, L'histoire se mêle à la spiritualité, L'Abbaye de Saint-Michel, une éternité. Dans ce lieu sacré, le temps semble suspendu, La Thiérache veille sur son trésor méconnu, L'Abbaye de Saint-Michel, en ses murs anciens, Garde l'écho lointain des chants des anciens. ``` J'esp

Dgib: LE SANGLIER ARDEN

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  - LE SANGLIER - Il était une fois, dans la mystérieuse forêt de Saint-Michel en Thiérache, un sanglier légendaire. Les habitants racontaient des histoires sur sa puissance et sa sagesse depuis des générations. Ce sanglier, nommé Ardent, avait des yeux perçants et un pelage d’un noir profond, orné de reflets argentés à la lueur de la lune. Chaque nuit, Ardent parcourait les sentiers de la forêt, veillant sur ses habitants. Il était le gardien des secrets anciens, des arbres majestueux et des ruisseaux cristallins. Les oiseaux chantaient pour lui, et les étoiles semblaient danser à son passage. Un jour, un jeune garçon nommé Éloi décida de partir à la recherche du légendaire sanglier. Il avait entendu les récits de sa grand-mère et rêvait de voir Ardent de ses propres yeux. Armé de courage et de détermination, Éloi se lança dans l’épaisseur de la forêt. Au fil de ses aventures, Éloi rencontra des créatures étranges : des fées dansant parmi les fleurs, des lutins farceurs cachés dans le

Dgib: LE COQ ET LE JARDIN

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  **Le Coq et le Jardin** Dans un paisible village, au cœur d'une vallée verdoyante, vivait un coq nommé Maurice. Maurice était un coq fier et vaniteux, qui aimait parader dans la cour de la ferme. Chaque matin, il chantait à tue-tête, annonçant le lever du soleil et se croyant le maître incontesté de tous les lieux. Un jour, Maurice décida de s'aventurer au-delà de la ferme. Il sauta par-dessus la barrière et se retrouva dans un magnifique jardin. Les fleurs y dansaient au rythme du vent, les papillons voletaient, et les arbres murmuraient des histoires anciennes. Maurice se pavana, sa crête dressée fièrement. Il se mit à chanter, pensant que le jardin était là pour l'admirer. Mais les fleurs ne semblaient pas impressionnées. Elles se penchèrent vers lui et dirent : « Cher coq, nous sommes ici depuis bien plus longtemps que toi. Nous avons vu des saisons passer, des amours naître et mourir. Ton chant est beau, mais il n'est qu'une note dans la symphonie de la natur

O. KERSAUSON

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  Quand j’entendais les écolos parler de la nature, je n’étais pas sûr qu’ils savaient reconnaître une feuille de chêne d’une feuille de hêtre. Je me suis toujours méfié des prédicateurs, ces gens qui veulent vous entraîner dans une forme de pensée. Olivier de Kersauson... sur les pontons de la Trinité Sur Mer

Dgib: ABBAYE DE SAINT MICHEL EN THIERACHE (02)

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  L'**Abbaye de Saint-Michel en Thiérache**,   S'étire gracieusement, telle une étoile solitaire,   Ses murs de pierre, témoins du temps,   Chuchotent des secrets anciens dans l'air. Les cloîtres silencieux, baignés de lumière,   Accueillent les âmes en quête de paix,   Leurs pas résonnent doucement sur les dalles,   Comme une prière murmurée au crépuscule. Les vitraux colorés, joyaux de l'histoire,   Captivent les regards, racontant des légendes,   Des saints et des miracles, des vies éternelles,   Dans un kaléidoscope de teintes célestes. L'orgue, fidèle compagnon des fidèles,   Égrène des notes sacrées, vibrantes d'émotion,   Dans la nef majestueuse, où le temps s'efface,   Et les cœurs s'élèvent vers des hauteurs inconnues. L'Abbaye de Saint-Michel, gardienne des songes,   S'élève comme un phare dans la brume du passé,   Ses voûtes abritent des prières silencieuses,   Et ses pierres murmurent des histoires d'éternité[1][2][3].

Dgib: LE TOURTEAU ET L'ETRILLE

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  ******* Le Tourteau et l'Étrille Sur le sable mouillé d'une plage isolée, Se rencontraient souvent deux crustacés. L'un était Tourteau, robuste et carré, L'autre Étrille, agile et bien armée. "Pourquoi te hâtes-tu toujours ainsi ?" Demanda le Tourteau, d'un ton aigri. "La mer est vaste et le temps infini, Prends donc le temps de vivre, je t'en prie." L'Étrille riait de son camarade lent, "Sans ma vitesse, je serais déjà pris pour argent. Dans ce monde cruel et si grand, Seul le plus rapide survit, c'est évident." Un jour qu'ils parlaient de leur sort, Un pêcheur vint troubler leur accord. L'Étrille, vive, s'échappa sans effort, Tandis que le Tourteau finit dans le port. "Ah !" dit l'Étrille, "tu vois mon ami, Ta lenteur aujourd'hui t'a trahi. Mais ne t'en fais pas, je n'oublierai pas, Que la sagesse parfois vient des pas lents, voilà." Le Tourteau du fond de son panier, N

Dgib: BRETAGNE

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  - BRETAGNE - Dans le cœur de l'Armorique s'éveille, Une terre de légendes, fière et belle, Bretagne, où les vents chantent sans pareille, Et les vagues embrassent le ciel. Les menhirs se dressent, gardiens du temps, Sous le regard bienveillant des fées, Chaque rocher, chaque grain de sable, vivant, Racontent une histoire à qui veut l'écouter. Les crêpes dorées, le cidre enivrant, Les fest-noz où l'on danse jusqu'au matin, La Bretagne, c'est un chant vibrant, Un tableau où se mêlent goût et festin. Les voiles blanches glissent sur l'océan, Les phares veillent, sentinelles de granit, La Bretagne, c'est le goût du sel et du vent, Un pays où chaque jour est un défi. Les landes sauvages, les forêts profondes, Les légendes d'Arthur et de Merlin l'enchanteur, La Bretagne, c'est un monde féerique, un monde, Où le rêve se mêle à la couleur. Oh Bretagne, terre de caractère, Ton héritage est un trésor sans fin, Dans chaque cœur, tu sèmes une lumière,

Dgib: 2 KORRIGANS AMOUREUX

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  ********* - 2 KORRIGANS AMOUREUX - Il fut, dans la forêt enchantée de Brocéliande, deux korrigans qui s'étaient épris l'un de l'autre. Tinik, un korrigan farceur et espiègle, et Eledy, une korriganne douce et généreuse, partageaient leur quotidien en harmonie. Tous deux vivaient dans un grand chêne centenaire, au milieu d'une clairière fleurie. Tinik, avec son sourire malicieux, passait son temps à jouer des tours aux animaux de la forêt, tandis qu'Eledy s'intéressait à tous les êtres vivants, apportant aide et soutien à chacun. Un jour, alors que le soleil se couchait et que la lune commençait à éclairer le ciel nocturne, Tinik posa un genou à terre devant Eledy et lui déclara son amour. Eledy, surprise et émue, accepta avec joie les sentiments de son compagnon. Ils décidèrent alors de célébrer leur union en organisant une fête dans la clairière enchantée. La nouvelle de l'amour naissant entre les deux korrigans se répandit rapidement dans la forêt. Tous

Dgib: LE PETIT QUI A LE PAIN ET...

  ******** - LE PETIT QUI A LE PAIN ET LE PETIT CALEPIN - Le petit qui a le pain et le petit calepin, Vagabondent ensemble sur les chemins, Deux compagnons inséparables de fortune, Parcourant le monde sans aucune lacune. Le petit qui a le pain, symbole de subsistance, Porte sur ses épaules l'espoir de la pitance, Il nourrit l'estomac et adoucit le cœur, Partageant sa maigre ration avec douceur. Le petit calepin, gardien des pensées, Recueille les histoires sans jamais les effacer, Il est le confident des idées et des rêves, Encre les souvenirs, les joies, les trêves. Ces compagnons fidèles, modestes acolytes, Écrivent leur vie dans les pages infinies, Leur destin est tracé par les mots qui guident, À travers chaque ligne, un nouveau monde s'élucide. Le petit qui a le pain et le petit calepin, Parcourent les rues, les vallées, les ravins, Leur duo humble et modeste ne laisse pas de trace, Mais dans leur sillage, l'écriture prend place. Ils se nourrissent de rencontres im

Dgib: TAXI

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  - TAXI, UNE VOCATION Dans les rues animées de la cité, S'épanouit un métier bien aimé, Celui du taxi, noble art de la route, Où les passionnés se dévouent sans doute. Le taxi, c'est bien plus qu'une voiture, C'est un lieu de rencontres, un havre sûr, Où se tissent des liens, de belles amitiés, Au gré des voyages et des échanges partagés. Le chauffeur, telle une oreille attentive, Devient confident, confidentiel, réceptif, Il écoute les joies, les peines et les peurs, Transformant les trajets en douces heures. Dans cet habitacle où réside la parole, Se tissent des histoires, des récits qui s'envolent, Les passagers se livrent, sans préjugés, Dans ce cocon où tout semble apaisé. Le taxi, véhicule des confidences, Embrasse la diversité dans sa démarche intense, Il transporte des mondes aux cultures variées, Ouvrant les esprits aux multiples horizons croisés. Les voyageurs, parfois étrangers, parfois habitués, Trouvent dans le taxi refuge de vérité, Un espace où se dé

Dgib: LA POULE QUI EN VOULAIT TROP -

********** - LA POULE QUI VOULAIT MIEUX - Il était une fois, dans un magnifique poulailler, une poule du nom de Coquette. Elle était belle, élégante et en apparence comblée aux côtés de son coq, Raymond. Mais Coquette n'était pas satisfaite de sa vie et rêvait de grandeur. Un beau matin, elle se réveilla avec de nouvelles plumes et un air aguicheur. Elle se regarda dans le miroir et décida qu'elle pouvait obtenir mieux que Raymond, malgré tout l'amour qu'il lui portait. Elle quitta donc leur nid douillet sans même se retourner. Coquette se dirigea vers l'autre côté du poulailler, où se trouvaient des coqs plus beaux et plus riches que Raymond. Elle se sentait flattée par leur attention et les prétendants se bousculaient pour gagner son cœur. Mais ce qu'elle ne savait pas, c'est que ces coqs étaient intéressés uniquement par sa beauté et sa richesse. Au fil du temps, Coquette se rendit compte qu'elle n'était qu'un objet pour ces coqs prétentieux.

Dgib: SI J'ÉTAIS UN GOÉLAND

  ********* - SI J'ÉTAIS UN GOÉLAND - Si j'étais un goéland survolant la Bretagne, Je planerais fièrement au-dessus de l'océan, Je sentirais la brise caresser mes plumes, Et l'horizon infini m'appellerait sans cesse. Je m'enivrerai des embruns salés, Le parfum de la mer envahissant mes narines, Naviguant au-dessus des vagues déchaînées, Je serai le maître des airs marins. Mes ailes puissantes me porteraient loin, Explorant les côtes aux falaises escarpées, Je survolerai les ports aux bateaux de pêche, Et les phares solitaires balisant mon chemin. Je découvrirai les îles éparpillées, Les moutons paisibles paissant les prairies, Je plongerai mes serres dans les eaux poissonneuses, Me nourrissant des trésors de la mer. Du haut des ciels bretons, je contemplerai, Les marées s'élever et s'abaisser, Les pêcheurs rentrer avec leurs filets bien remplis, Et les rochers se dresser majestueusement. Je me poserais sur les îles enchantées, Me reposant sur les touffes

Dgib: LOIN DE LA BRETAGNE

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  - LOINS DE LA BRETAGNE, ILS EN RÊVENT- Loin de là Bretagne, dans un autre horizon, Ils rêvent de ses terres, de ses embruns. Leurs cœurs sont emplis d'une douce mélancolie, De cette région qu'ils chérissent, au loin des yeux. Ils s'imaginent les falaises, majestueuses et crues, Les tempêtes qui grondent, les vagues qui bousculent. Et le chant des marins, à l'aube des pêches matinales, Résonnant dans leurs rêves, comme une mélodie ancestrale. Ils rêvent des vieilles pierres qui racontent l'histoire, Les contes et légendes, transportant la mémoire. La magie des dolmens, des menhirs et des alignements, Un héritage mystique, qui ne laisse personne indifférent. Ils s'imaginent les fest-noz, ces soirées enflammées, Où les corps s'entremêlent, emportés par la danse effrénée. Les notes de la bombarde et du biniou, vibrant dans l'air, Leurs cœurs palpitant au rythme de ces musiques si chères. Ils rêvent des crêpes chaudes, parfumées de beurre salé, Des galettes

Dgib: LE PETIT KORRIGAN

  ************* - LE PETIT KORRIGAN - Dans les landes de Bretagne, un petit être enchanté, Se cache parmi les bruyères, sans jamais se dévoiler. Le petit Korrigan, mystérieux et malicieux, Veille sur les terres, à l'abri des regards curieux. Son visage ridé, aux yeux pétillants de malice, Il danse dans les sous-bois, avec une grâce précise. Sa chevelure d'or, éclats de lumière dans l'air, Rappelle les rayons d'un soleil pris au piège, éphémère. Le petit Korrigan, gardien des traditions, Protège les secrets de la Bretagne, avec passion. Dans ses mains agiles, il tisse des sortilèges, Pour préserver l'histoire, jamais ne la délègue. Il arpente les rivages, foulant le sable de ses pas légers, Se faisant invisible, l'instant d'après, à l'oeil étranger. Il murmure aux vagues des légendes endormies, Et les marées montent, répondant à son magie. Le petit Korrigan, farfadet de la fée nature, Chuchote aux arbres et aux fleurs, sa douce mélodie pure. Il protège la

Dgib: MARINS PÊCHEURS...

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  MARINS PECHEURS, CES HEROS BRETONS PAS ORDINAIRES - Au clair de l'aube se lève le silence marin, Les flots s'étendent à perte de vue, sans fin, Et sur la côte bretonne, vaillants et intrépides, Les marins pêcheurs, ces héros pas ordinaires se hissent à bord de leur navire solide. Arborant leurs cirés jaunes, symboles de bravoure, Ils affrontent les vagues, les tempêtes, chaque jour, Dans leurs mains calleuses, les filets se déploient, Prêts à capturer les trésors des océans, avec foi. De leurs embarcations, la mer est leur royaume, Ils écoutent le chant des sirènes, dansent avec les flots, Des lignes tendues, ils scrutent l'horizon, Tel un ballet mélodieux, leur ballet de passion. Les marins pêcheurs, ces enfants de la mer, Ont le sel qui coule dans leurs veines, fier, Ils connaissent les secrets des courants, des marées, Et dans leurs yeux clairs, brillent leurs rêves d'aventure. Ils savent que chaque sortie est un défi, Un parfum d'incertitude, une lutte contre

Dgib: LE CLOWN DE BRETAGNE -

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  - LE CLOWN DE BRETAGNE - Dans les contrées de Bretagne, un clown enchanteur, Vêtu de couleurs vives, fait naître le bonheur, Son visage rayonne d'un sourire éclatant, Et ses yeux pétillants illuminent le temps. Son nez rouge trône fièrement sur son minois, Symbole de sa fantaisie, source de sa voix, Il arpente les rues, semant rires et éclats, Son art du burlesque émerveille petits et grands. De village en village, de fest-noz en carnaval, Le clown de Bretagne est attendu de tous les fêtards, Il trotte, il bondit, espiègle et plein d'énergie, Virevoltant, jonglant, il pimente nos vies. Il sait taquiner le vent, s'envoler dans le ciel, Tel un funambule fragile, sans aucun pareil, Il balance sa canne avec maîtrise et légèreté, Créant des pirouettes empreintes de poésie. Les bretons, subjugués par ce clown généreux, Lui offrent leur sourire et leur cœur chaleureux, Car derrière le masque se cache un homme sensible, Qui câline nos âmes et nous rend plus sensibles. Dans les ye

Dgib: FEMME ET FLEUR

  ************** - FEMME et FLEUR - Femme et fleur, symboles de douceur, Deux natures qui s'entremêlent sans peur. Complémentaires par leur beauté singulière, Elles captivent nos âmes, hier comme aujourd'hui, sur cette Terre. La femme, pareille à une divine déesse, Élégante, charmeuse, source de tendresse. Son sourire éclatant, tel un rayon de soleil, Illumine nos vies, nous laissant sans pareil. La fleur, petite merveille colorée, Dans son écrin de pétales, elle est ensorcelée. Elle éveille nos sens, embaume notre monde, Avec ses parfums enivrants, elle nous inonde. Dans les jardins, où la féminité s'épanouit, Les fleurs rivalisent de beauté, c'est un défi. Face à leur splendeur, nous restons ébahis, Subjugués par leur magnificence infinie. La femme et la fleur, semblent si différentes, Mais en réalité, leur lien est évident. L'une comme l'autre, elles peuvent se métamorphoser, Passer de l'une à l'autre, sans se lasser. La femme, telle une fleur, peut s

Dgib: ASSIS FACE À LA MER

  **************** Assis sur les rochers, sous les gouttes d'un crachin, Je me laisse enivrer par le chant de l'océan. Cette mer de Bretagne, aux couleurs changeantes, Raconte mille histoires, tel un livre captivant. Ses flots impétueux, d'un bleu intense, Accueillent les clairs-obscur de chaque instant. Ils dansent avec les nuages, à l'infini mouvant, Un spectacle éternel, si beau et puissant. Les vagues se fracassent sur les vieux rochers, Dévoilant leur énergie, leur force insoupçonnée. Elles sculptent les falaises, avec patience et sagesse, Un tableau vivant, d'une beauté sans cesse. Les embruns caressent mon visage, Je m'enivre de cet air marin, mélange de sel et de sauvage. Là, au bord de l'horizon, se fondent ciel et mer, Dans une harmonie parfaite, d'une magie éphémère. Les feux du crépuscule se mêlent aux vagues, Et les reflets flamboyants se réveillent sans trêve. Leurs teintes chatoyantes illuminent le paysage, Comme une peinture vivante, glis

Dgib: TOI LE BON AIR DE BRETAGNE

  *************** - TOI LE BON AIR DE BRETAGNE - Dans les terres brumeuses de Bretagne, Où les falaises s'élèvent en montagne, L'air pur caresse mon visage, Et emplit mon cœur d'un doux présage. Je respire à pleins poumons cet oxygène, Qui infuse en moi une énergie sereine, Les embruns marins dansent dans l'air, Entremêlant leurs effluves avec un soupçon de mystère. Le ciel se teinte de nuances changeantes, Entre pluie fine et éclaircies étincelantes, Les goélands traversent les nuages, Et se mêlent au vent, fidèles équipages. Le sel de la mer imprègne chaque souffle, Rappelant le goût des embruns en bouche, Les marées rythment les jours et les nuits, Annonçant le retour des récoltes et des pêcheries. Les forêts verdoyantes chantent leur refrain, Comme un appel à l'aventure, à explorer leur chemin, La flore et la faune y prospèrent en harmonie, Sous le regard bienveillant de Mère Nature, infinie. Les landes sauvages déploient leur beauté, Parmi les bruyères et les a

Dgib: LEVÉ DE SOLEIL SUR LA BRETAGNE -

  **************** - LEVÉ DE SOLEIL SUR LA BRETAGNE - Aurore embrase les cieux bretons, Levant de soleil sur l'horizon, Dans un éclat d'or et de feu, La Bretagne s'éveille, joyau des dieux. Les flots marins se teintent d'argent, Le vent souffle, ivre de l'océan, Sur les falaises, les oiseaux s'envolent, Dans un ballet céleste qui nous affole. Les landes se parent de bruyère, Les arbres s'imprègnent de lumière, Les collines dansent, mêlant les couleurs, La nature ici révèle tous ses ardeurs. Au sommet des menhirs millénaires, Les druides murmurent des prières, Le ciel se fait plus bleu, plus pur, Dans ce sanctuaire mystique et sûr. Les vagues viennent lécher les rives, La plage se couvre de coquillages vives, Les pêcheurs préparent leurs filets, L'espoir d'une journée fructueuse en tête. La brise marine caresse nos visages, Comme une douce offrande de sages, La mer danse et chante sa symphonie, Un écrin de bonheur pour nos vies. Le soleil monte peu à

Dgib: L'AMOUR EN BRETAGNE

  *************** - L'AMOUR EN BRETAGNE - Amour en Bretagne, terre de légende, Où le vent souffle et les vagues s'étendent, Au cœur de ces terres, amour pur et fort, Se murmurant doux mots, contes d'or. Sur les plages de sable fin, Deux âmes se croisent, se tiennent la main, Se perdent dans les nuances de l'océan, Dansent ensemble au rythme des éléments. L'amour en Bretagne, c'est une mer en furie, Des embruns qui caressent les visages meurtris, Dans les ruelles pavées, des regards échangés, Deux cœurs qui se rencontrent, destin scellé. Les voiles des bateaux dansent sur l'eau salée, Symboles d'un amour qui ne cessera jamais, Les phares veillent sur les amours fusionnels, Guidant chaque couple vers un bonheur éternel. Parmi les ajoncs et les rochers escarpés, Des amants se cherchent, éperdus et énamourés, Les coiffes colorées des guérandaises virevoltent, Parfumant l'air de doux baisers qui s'immolent. Amour en Bretagne, c'est la lande embras

Dgib: CIEL D'ORAGE SUR LA BRETAGNE

  ********** - CIEL D'ORAGE DEVIENT BEAU SUR LA BRETAGNE - Dans un coin de la Bretagne, sur la côte sauvage, Un ciel d'orage s'annonce, le vent se déchaîne, Mais ici, l'âme est sereine, les coeurs ne se plaignent, Car même quand l'orage gronde, la beauté se dégage. Les nuages gris s'amassent et obscurcissent l'horizon, Les rafales soufflent, agitent les vagues déchainées, Mais les Bretons, fidèles à leur terre bien-aimée, Voient dans ce tumulte un tableau empli de passion. Le ciel d'orage devient beau sur la Bretagne, Les éclairs zèbrent les airs, illuminent la lande, La pluie tombe en trombe, martèle les toits en ardoise, Et pourtant, rien n'ébranle l'esprit de cette terre d'authenticité. Car l'âme bretonne est forte, insoumise et rebelle, Elle sait affronter les tempêtes avec fierté, Et dans ce ciel d'orage, elle trouve sa beauté, Comme une énergie brute qui la pousse à se révéler. Au milieu des éléments déchainés, la nature s'e

Dgib: CLAIR DE LUNE EN BRETAGNE

  ***************** - BRETAGNE AU CLAIR DE LUNE - Sous le clair de lune, en Bretagne, S'éveille un monde de charme, Où les ombres dansent et se baignent, Dans la mer d'argent qui désarme. Les falaises se dressent fièrement, Face à l'océan immense, Et le vent murmure tendrement, Dans chaque crique et en chaque enceinte. Les phares gardiens de la côte, Illuminent la nuit étoilée, Et guident les marins en déroute, Vers un port où ils seront protégés. Les vagues viennent caresser le sable, Dans un rythme doux et apaisant, Et les coquillages chantent leur fable, De secrets gardés depuis longtemps. Les calvaires ancestraux se détachent, Sur le fond de bruyère et de landes, Et les menhirs, veilleurs de passage, Racontent les légendes de leur contrée grande. Les cygnes glissent sur les rivières, Refletant la lueur de la lune, Et les forêts cachent les fées sorcières, Qui dansent et chantent sous la clairière commune. Sur les toits des maisons de granit, Le lierre grimpe jusqu'a

Dgib: MER DE BRETAGNE

  ***************** - MER DE BRETAGNE - Toi, ma si belle mer de Bretagne, Étendue infinie, où les vagues se déchaînent. Ton bleu azur m'enveloppe de sa douce caresse, Et transporte mon âme vers des contrées célestes. Tes vagues qui s'élèvent avec puissance, Font frémir mon cœur, empli d'émotions intenses. Leur chant mélodieux berce mes pensées, Dans cette symphonie marine où je me sens apaisé. Sur tes rivages, je contemple l'horizon, Entre ciel et mer, se fondant en communion. Les mouettes survolent ta surface argentée, Tandis que la brise marine vient m'effleurer. Les marins, bravant les tempêtes, sur leurs bateaux, Voguent avec courage sur ton vaste tableau. Ils puisent leur force de tes vagues déferlantes, Et trouvent en toi un refuge, une extase palpitante. Les rochers escarpés se dressent, fiers gardiens, De ton trésor mystérieux, si incroyablement divin. Les algues dansent au rythme des marées, Fabuleuse chorégraphie d'une nature dévouée. Toi, ma si belle

Dgib: JAMAIS SEUL EN BRETAGNE

  **************** - JAMAIS SEUL EN BRETAGNE - Même isolé, nous ne sommes jamais seuls en Bretagne, Une terre légendaire où l'âme rencontre montagnes. Entre les falaises abruptes et les doux rivages, Le cœur bat au rythme des marées, entre passion et partage. Car ici chaque pierre porte l'histoire d'un passé héroïque, Et chaque brin d'herbe conte l'épopée des siècles épiques. Les légendes celtiques s'entremêlent aux murmures du vent, Pour célébrer la magie de cette terre éternellement vivante. Les menhirs se dressent fièrement, gardiens de la mémoire, Leurs silhouettes majestueuses racontent le temps qui s'écoule à la gloire. Les dolmens cachent les secrets des civilisations passées, Proclament que l'homme en Bretagne, depuis toujours, est respecté. La mer, infiniment vaste et tumultueuse, est notre confidente, Elle accueille nos rêves, nos peines et nos joies abondantes. Les pêcheurs, solitaires sur l'océan, défient les vagues déchaînées, Une frater

Dgib: BELLE-ILE-EN-MER

  ********************** - Belle-Ile-en-Mer où île belle en mer ? - Belle-Île-en-Mer, île aux mille trésors, Dans l'océan Atlantique, elle se repose, Un bijou authentique, niché sur les flots, Un écrin majestueux pour émerveiller notre corps. Dès le premier regard, son charme nous enlace, Ses côtes sauvages et ses falaises audacieuses, Les vagues s'écrasent offrant un spectacle de grâce, Une symphonie enivrante, une nature précieuse. Ses plages de sable fin invitent à la détente, Entre baignades joyeuses et doux farnientes, Le soleil caresse la peau, tel un enchantement, Un havre de paix où l'âme se repose vivement. Le vent marin soulève les cheveux, avec douceur, Il raconte les histoires de marins aventuriers, Les bateaux dansent au rythme des vagues, en couleurs, Leur mélodie berce nos rêves les plus secrets. Au loin, le phare veille sur cette terre enchanteresse, Telle une sentinelle, il guide les marins avec tendresse, La nuit, ses lueurs éclairent les étoiles, en car

Dgib: LA BRETAGNE TEND LA MAIN

  ****************** - LA BRETAGNE TE TENDRA TOUJOURS LA MAIN - La Bretagne te tendra toujours une main, Une main chaleureuse, empreinte d'authenticité, Ses paysages sauvages t'accueilleront en son sein, Te guidant vers une beauté insoupçonnée. Du Mont-Saint-Michel à la Pointe du Raz, Des falaises déchiquetées aux plages dorées, La Bretagne déploie ses trésors ici-bas, Offrant à ton cœur mille émotions partagées. Dans les forêts mystérieuses de Brocéliande, Les légendes celtiques prennent vie, Les Korrigans et les fées se font entendre, Au cœur de cette nature si infinie. Les marées rythment le temps qui passe, Quand l'océan se retire, c'est un spectacle grandiose, Les crustacés et les algues laissent place, Au sable fin, une étendue en repos. Les embruns caressent ton visage, La brume danse avec les menhirs dressés, Dans cet univers où règne la nature sauvage, Tu découvres un havre de paix bien mérité. Les ports de pêche se mêlent aux cités médiévales, Dinan, Saint-Mal