LES TEXTES À DGIB

 >< Sur le port, l'attente >< Sur le quai du port de Quiberon, Loanne attendait et guettait le retour de son amoureux, Léon, marin pêcheur. La mer était déchaînée, le ciel orageux et le vent soufflait furieusement, giflant son visage rougi par l'angoisse. Chaque vague monumental s’écrasant contre le quai la faisait frissonner davantage. L’ombre inquiétante de la tempête avançant sur l'horizon semblait jouer avec ses pires craintes. Chaque minute paraissait une éternité alors que Loanne ne discernait aucune trace du bateau de Léon. Leur amour avait commencé par une belle journée ensoleillée, deux âmes se trouvant au hasard d’un marché maritime. Les rires, les promesses et les étreintes avaient construit un monde où chacun comptait l’un sur l’autre comme l'océan dépend de la lune. Mais ce soir, tout semblait vouloir arracher ses rêves aux courants impitoyables du destin. Loanne se souvenait des histoires que Léon lui racontait sur les légendes de la mer, de vi

  >< En 1864, Charles de Gaulle ecrit: l'appel aux celtes >< Charles de Gaulle (Barz Bro C'hall ou Charlez a Vro C'hall en breton), né le 31 janvier 1837 à Valenciennes et mort le 1er janvier 1880 à Paris, est un écrivain français, défenseur de la langue bretonne et du celtisme. Il est l'oncle du général de Gaulle, qui porte son Charles de Gaulle (1837-1880), qui était l'oncle du célèbre général et homme politique Charles de Gaulle du XXe siècle. Cet autre Charles de Gaulle a effectivement écrit un texte intitulé "L'appel aux Celtes" en 1864. >< Contexte Historique : En 1864, la France, sous le Second Empire de Napoléon III, connaît des bouleversements politiques, sociaux et culturels. Les mouvements nationalistes et régionalistes gagnent en force à travers l'Europe. C'est également une époque où l'identité culturelle et les mouvements de renaissance nationale, comme le folklore celte, deviennent des sujets d'intérêt

  >>< Aimer et être fier de nos enfants >< L'amour parental est un sentiment à la fois puissant et complexe, une alchimie unique de responsabilité et de désir, de protection et de liberté. Aimer ses enfants signifie les accepter dans toute leur diversité, leur individualité et leur potentiel, sans projeter sur eux nos propres aspirations non réalisées. Tandis que la fierté parentale est souvent perçue à travers le prisme du devoir accompli, il est essentiel de reconnaître que la vraie fierté réside dans la reconnaissance de ce que nos enfants deviennent par eux-mêmes, indépendamment de nos ambitions et de nos désirs initiaux. Dès leur naissance, nos enfants sont les réceptacles vierges de nos espoirs et de nos rêves. Nous les voyons comme les continuateurs de notre propre histoire, comme les porteurs de notre héritage, et souvent nous leur assignons, consciemment ou non, des rôles et des chemins à suivre. Pourtant, la croissance et le développement d'un enfant s

  >< A Carnac, l'etrille jouait avec le ressac >< Il était tôt ce matin-là, et le soleil levant transformait les cieux en une palette de nuances rosées et dorées. L'air frais caressait mon visage tandis que mes pieds nus foulaient le sable doux de la plage de Saint-Colomban, à Carnac. C'était un moment de calme absolu, où les murmures des vagues et les cris des mouettes formaient une symphonie naturelle, une invitation à la sérénité. Je marchais lentement, goûtant chaque instant, chaque souffle d'air salin. C'est à ce moment-là que je remarquai une petite étrille, crabe agile aux pattes fines et aux mouvements vifs. Elle semblait prise dans une danse rituelle avec le ressac, ou peut-être était-ce ce dernier qui la guidait. Cette étrille captivait mon attention par ses mouvements harmonieux mais imprévisibles, comme si elle jouait ou luttait contre les vagues, aucun de nous ne pouvant vraiment le dire. Ce ballet aquatique me plongeait dans une sorte de mé

 >< J'ai recompté les saisons. Il me manque la saison de l'amour ! >< Sous les voûtes étoilées d’un ciel sans nuages, S’écoulent lentement les éphémères pages De ce grand livre appelé la Vie, Où les souffles du temps sont un poème incompris. Pourtant, j’ai recompté les saisons, une par une, Des verdures printanières, aux cerises de juin, Aux épanouissements de l’été en délire, Où tout semblait sourire, même le plus subtil zéphyr. J’ai frissonné sous les premières brises d’automne, Quand les feuilles d’or, en une danse monotone, Tapissaient le sol d’un doux linceul embrasé, Où chaque pas donnait un croisson emmêlé. Puis l’hiver, ce blanc manteau, ce silence glacé, Où chaque souffle semble un cri voilé, Les paysages immaculés, pourtant si apaisants, M’ont murmuré des secrets à chaque instant présent. Et au retour du printemps, la renaissance assidue, Les fleurs déploient leurs pétales, leur parfum attendrissant et pur, Mais au milieu de ce kaléidoscope de couleurs,

  >< Ne Renie Pas Ton Passé : La Clé pour Mieux Avancer >< L'histoire individuelle est peuplée de moments heureux, de situations difficiles, de succès éclatants et d'échecs cuisants. En avançant dans la vie, il peut être tentant de vouloir effacer certains pans de notre passé, particulièrement ceux qui sont douloureux ou sources de regret. Cependant, pour mieux progresser et s'épanouir, il est essentiel de ne pas renier son passé. Cette thèse repose sur trois fondements principaux : l'apprentissage personnel, la construction de l'identité et la résilience.  > 1. L'Apprentissage Personnel La première raison pour laquelle il est crucial de ne pas renier son passé est l'apprentissage personnel qu'il offre. Chaque expérience, bonne ou mauvaise, est une leçon potentielle. Les erreurs et les échecs servent souvent de terreau pour la croissance. Par exemple, un entrepreneur qui a connu la faillite d'une entreprise peut utiliser cette expérien

  >< Le temps passe >< À 67 ans, le crépuscule est doux, Les souvenirs affleurent, s'enlacent, se jouent. Les pages jaunies du botin s'amoindrissent, Tandis que les noms sur pierres grandissent. Au crépitement des jours passés, Les visages aimés s'étiolent, lassés. Dans les jardins de marbre, silencieux, Les rires du passé se font échos précieux. Chaque tombe est un chapitre clos, Chaque nom gravé, un fragment de mot. Les cœurs endormis sous le ciel serein, Ravivent des histoires, des mirages lointains. Les cimetières deviennent des lieux familiers, Où plus de connaissances en reposent en paix. Le vent murmure leurs prénoms en secret, Et mon âge m'apprend à les aimer d'un autre reflet. La vie me file entre les doigts, Mais les âmes d'hier sont là, tout près de moi. Eux, dans la terre, moi, sur l'horizon, Nous tissons des liens de fondation. À 67 ans, je prends le temps de m'attarder, Sur les vies qui ont pavé mon sentier. Le botin s’efface, r

  >< Vers demain >< Sous l'éclat doré d'un coucher de soleil, deux âmes se rencontrèrent, éprises d'une tendresse qui transcendait les mots. Leurs regards se croisèrent, et dans ce silence éloquent, un univers se forma. Les yeux dans les yeux, ils plongèrent dans l'océan de l'autre, découvrant des abysses de passion et des cieux d'éternité. Le monde autour d'eux s'estompa alors qu'ils fusionnaient dans cette danse visuelle, où chaque regard était une promesse, chaque sourire un serment non-dit. Ils se tenaient la main, les doigts entrelacés comme les aiguilles d'une horloge de cœur battant à l'unisson. Leur peau parlait le langage des caresses, dessinant des souvenirs doux sur la toile de la nuit qui approchait. Sans un mot, ils avancèrent, main dans la main, vers le lendemain incertain mais prometteur. Le chemin se déroulait devant eux, pavé d'étoiles et de rêves. Dans cet instant suspendu, ils savaient, au plus profond d'

  >< Le poisson rouge qui faisait pipi au lit >< Dans le doux village de Clairfontaine, Jules avait un poisson rouge nommé Marin. Marin vivait dans un aquarium rond, où il tournait en rond toute la journée. Mais chaque matin, Jules trouvait son lit mouillé, car Marin avait l'étrange habitude de faire pipi au lit. Inquiet pour son ami à écailles, Jules consulta la grenouille philosophe du jardin voisin. "Chère grenouille," demanda Jules, "que dois-je faire? Mon poisson rouge fait pipi au lit!" La grenouille, sage et réfléchie, coassa doucement : "Peut-être que Marin cherche à te dire quelque chose. Un aquarium rond sans fin est un monde bien monotone. Offre-lui des distractions, des plantes, et des pierres pour explorer." Jules suivit le conseil et transforma l'aquarium de Marin. Il ajouta des plantes aquatiques, des cailloux colorés, et même un petit château. Marin fut si enchanté par ses nouveaux divertissements qu'il oublia son an

  >< Le chat astronome >< Dans un petit village français, sous un ciel étoilé, vivait un chat pas comme les autres. Son nom était Cosmo, et il appartenait à Mauricette, une dame âgée qui adorait l'astronomie. Cosmo était fasciné par les étoiles depuis qu'il était chaton, passant ses nuits à contempler le ciel avec Mauricette. Un soir, alors que Mauricette s'était endormie dans son fauteuil, Cosmo sauta sur le bureau et commença à jouer avec une carte du ciel. Il posa sa patte sur une constellation particulière et, à sa grande surprise, la carte s'illumina. Cosmo avait activé un mécanisme secret qui transforma la carte en un portail vers l'espace ! Sans hésitation, Cosmo traversa le portail et se retrouva flottant dans l'espace, entouré d'étoiles et de planètes. Il était émerveillé par la beauté de l'univers. Il rencontra des comètes qui lui racontèrent des histoires anciennes, des astéroïdes qui jouaient à cache-cache, et même une nébuleuse q

  >< Écrire en présence de mes chats >< Lorsque je m'installe à ma table pour écrire, le paysage quotidien se transforme en une scène théâtrale vivante et colorée. Mes chats, inséparables compagnons de plume, prennent place autour de mes cahiers avec un sérieux désarmant. Leurs yeux brillent d'une intelligence mystérieuse et malicieuse, ajoutant une touche de charme félin à l'atmosphère créative. Il semblerait qu'au fil des jours, ils aient développé une passion inébranlable pour mes écrits. Mon chat gris, Archibald, est le plus spirituel du groupe. Sa queue élégamment enroulée autour de ses pattes, il prend place en face de moi, comme un critique littéraire prêt à décortiquer chaque mot. Alors que j’essaye de rédiger la première phrase de mon essai, il miaule doucement, un air de défi dans les yeux. Je l’imagine en train de débattre avec lui-même : " Vraiment, tu comptes commencer comme ça? Un peu de sérieux, voyons!". À côté de lui, Perle, au pel

  >< Le Monologue de l'Huître de BRETAGNE >< Dans les eaux fraîches et cristallines de la Bretagne, une huître du nom de Perle. Perle n'était pas une huître ordinaire : elle avait le don de la parole. Perle vivait paisiblement dans une petite crique, entourée de ses compagnons huîtres, moules et autres créatures marines. Un matin ensoleillé, alors que les premiers rayons du soleil perçaient les vagues scintillantes, Perle décida de livrer son cœur et son esprit au monde. Elle se hissa sur un rocher, ouvrant légèrement sa coquille pour laisser échapper une douce lueur nacrée. Les poissons colorés, curieux de ce spectacle inhabituel, s'approchèrent en silence pour écouter ce que Perle avait à dire. "Chers amis des océans et des rivages," commença Perle d'une voix douce et mélodieuse, "je suis une simple huître de Bretagne, mais aujourd'hui, je porte un message important. Nous, créatures des mers, sommes les gardiennes d'un trésor inesti

  >< Le Monologue du Meilleur Ami : Une Perspective Canine >< Imaginez un chien, assis dans un fauteuil en cuir, portant des lunettes et tenant un journal. Ce chien, nommé Charlemagne, est sur le point de livrer un discours des plus étonnants. Le sujet ? "On dit que le chien est le meilleur ami de l'homme. Mais que dirait le chien si on lui demandait son avis ?" Charlemagne se racle la gorge, pose le journal, et commence à parler. "Mes chers humains, je prends la parole aujourd'hui pour démystifier cette idée largement répandue selon laquelle le chien est le meilleur ami de l'homme. Je vous prie de bien vouloir m'écouter attentivement, et surtout, de ne pas m'interrompre pour récupérer une balle. J'ai du sérieux à dire. Tout d'abord, vous devez savoir que j'apprécie vraiment les grattouilles derrière les oreilles et les promenades, même si marcher en laisse me donne littéralement l'impression d'être un prisonnier en lib

  >< Le Marcassin et le Mocassin à travers la Bretagne >< En Bretagne, une terre de légendes et de paysages enchanteurs, un jeune marcassin nommé Marius et un mocassin audacieux nommé Maurice. Leur aventure tous deux inséparables, commençait dans la forêt de Brocéliande, célèbre pour ses contes arthurien. Un jour, Marius le Marcassin et Maurice le Mocassin décidèrent de partir en exploration pour découvrir les merveilles de la Bretagne. Ils avaient entendu parler des falaises majestueuses de la Pointe du Raz, des menhirs de Carnac, et des îles mystérieuses comme l'Île de Bréhat. Ils se mirent en route, Marius trottant gaiement sur ses petites pattes et Maurice, chaussé d’une seule godasse (car il n’était, après tout, qu’un seul soulier), se balançant à côté de son compagnon. Ensemble, ils étaient décidés à se réjouir des beautés de leur région. Lors de leur périple, ils passèrent par des champs de blé doré et des villages pittoresques où les habitants, intrigués, les re

  >< Le Marcassin et le Mocassin >< Dans une forêt lointaine et mystérieuse, Vivait un jeune marcassin curieux. Il aimait fouiner, chercher et creuser, Mais un jour, quelque chose l'a intrigué. Au bord d'un ruisseau, brillant sous le soleil, Un mocassin solitaire sans pareil. "Qu'est-ce donc que cela ?" se demanda-t-il, En s'approchant de l'objet si subtil. Le mocassin, usé mais élégant, Était là, abandonné, attendant. Le marcassin, avec un grognement doux, Le renifla, le poussa du museau. "Peut-être est-ce un lit pour mes siestes ?" Ou un piège tendu par quelque bête ? Il décida de l'essayer, pourquoi pas, Et y glissa sa patte, délicat. Mais le mocassin, bien trop étroit, Ne fit que serrer son pied avec émoi. Le marcassin se débattit, paniqué, Craignant d'être pris au piège, coincé. Après maints efforts, il se libéra, Et du mocassin, il s'éloigna. "Je suis un marcassin, pas un pied humain, Je n'ai que faire de ce

  >< Ĺe jardinier et son vélo >< Dans un petit village fleuri, le jardinier Marcel aimait parcourir les allées de son jardin sur son vieux vélo. Chaque matin, il enfourchait sa monture de métal, son panier rempli d'outils et de graines, prêt à éveiller la terre endormie. Marcel n'était pas un jardinier ordinaire; son vélo était son fidèle compagnon. Ensemble, ils avaient planté des rangées de tulipes chatoyantes et des parterres de roses parfumées. Le vélo, avec ses roues comme des pétales tournant au rythme des saisons, était plus qu'un simple moyen de transport, c'était un partenaire dans l'art du jardinage. Un jour, alors que le soleil se levait à peine, Marcel découvrit une petite souris grise, épuisée, cachée entre deux pots de géraniums. Avec douceur, il la prit dans ses mains gantées et la déposa dans le panier avant de l'emmener faire un tour du jardin. La souris, émerveillée par la beauté qui l'entourait, retrouva peu à peu ses forces.

 >< La balade des chaussures sans pieds >< Dans la ville de Pasàpied, une paire de chaussures élégantes, abandonnées par leur propriétaire, qui décidèrent de prendre leur destin en main. Elles rêvaient de parcourir le monde, de découvrir les secrets cachés dans les recoins les plus reculés. Mais comment voyager sans pieds pour les porter ? Un soir de pleine lune, alors que les chaussures contemplaient le ciel étoilé, une étoile filante traversa la voûte céleste. Les chaussures firent un vœu, un vœu si pur et si sincère qu'il fut exaucé. Elles se mirent à bouger, comme animées par une magie ancienne. Le lendemain, les habitants de Pasàpied furent stupéfaits. Les chaussures se promenaient dans les rues, visitant les parcs, les boutiques, et même le musée local. Elles étaient polies, s'arrêtant pour laisser passer les gens, et semblaient même attendre patiemment aux feux de circulation. Mais un mystère demeurait : où allaient-elles ? Quel était leur but ? Un vieux cor

  >< Notre crachin de Bretagne >< Sous le ciel argenté de Bretagne, où les nuages se confondent avec l'horizon, le crachin breton descend en une douce caresse, viril et tendre, une étreinte aqueuse qui embrasse les terres sacrées de l'Armorique. Chaque goutte devient une larme céleste, se mêlant à la terre et au granit, suscitant mille nuances nouvelles, éveillant les scintillants secrets du sol. Les champs, sous ce voile humide, s'illuminent de verts émeraude, de bruns profonds et mystérieux, de jaunes d’or épars comme des touches de lumière divine venues bercer les campagnes. Les ajoncs et la bruyère, parés de leurs plus belles robes, dansent au rythme lent de la bruine, offrant un tableau mouvant et enchanteur.  Sur les côtes de granit, là où l'Armor rencontre l'Armorique en une étreinte majestueuse, le crachin fait naître des teintes gris perle, fondant la pierre et le ciel en une harmonie symphonique. Les vagues, mues par une force ancestrale, roule

  >< Mais, où sont cachés les poissons >< Sur les côtes de la Bretagne, dans le village côtier de Kermorvan, une étrange disparition troublait les habitants. Les pêcheurs se rendaient compte que les filets ramenaient de moins en moins de poissons. Les quais autrefois animés par les cris joyeux des marins étaient devenus silencieux, et la mer semblait garder jalousement son trésor. Léon, un vieux pêcheur à la barbe grisonnante, n'avait jamais vu ça. En soixante ans de vie en mer, il avait navigué à travers tempêtes et mer calme, mais jamais le grand bleu ne lui avait fait défaut. Ses petits-enfants le regardaient avec des yeux remplis d'incompréhension. Où étaient donc passés les poissons? Marie, la tenancière de la taverne locale, et une conteuse réputée, se souvenait d'une vieille légende bretonne que sa grand-mère lui racontait. Elle disait qu'un jour où la mer serait troublée, il faudrait chercher la clé dans les légendes anciennes. Marie décida d'or

  >< L'étreinte de la Bretagne, la mer, le soleil et la lune >< Sous les cieux changeants de la douce Bretagne, Là où la mer embrasse les terres ancestrales, Il est une union si pure, une véritable compagne, Entre la nature sauvage et l’amour sidéral. Le soleil, roi flamboyant du jour brillant, Sur les flots d’émeraude, étend son voile doré, Égayant de mille feux l’océan mouvant, Traçant des empreintes d’or jusqu'à l’horizon damné. Les vagues murmurent des secrets d’éternité, Histoires d’amoureux face au vent du large, Où les cœurs battants en quête de clarté, S’embarquent ensemble dans un vaste voyage. Quand vient la nuit, douce et argentée, La lune mère, veilleuse d’un ciel serein, Illumine les eaux d'un voile opalin enchanté, Berçant les rêves des marins et des pèlerins. Là, sur cette côte, théâtre de la fusion, Le soleil et la lune se rencontrent en transition, Éclipses d’amour dans un bal éternel, De leurs rayons lumineux, ils tissent une chapelle. Les lég

  ><><><><><><>< >< Le réchauffement climatique >< Le réchauffement climatique, un phénomène majeur qui menace notre planète, est devenu un sujet de préoccupation mondiale. Les activités humaines, telles que l'utilisation de combustibles fossiles et la déforestation, ont accru les émissions de gaz à effet de serre, provoquant des changements indéniables dans notre climat. Dans cet essai de réflexion, nous explorerons les causes et les conséquences du réchauffement climatique, ainsi que les actions possibles pour atténuer son impact. Les activités humaines sont largement responsables du réchauffement climatique actuel. L'augmentation des émissions de dioxyde de carbone et d'autres gaz à effet de serre piège la chaleur dans l'atmosphère, provoquant une augmentation des températures mondiales. Les conséquences de ce phénomène sont déjà visibles, avec des événements météorologiques extrêmes de plus en plus fréquents, une

  Aimer quelqu’un ce n’est pas le retenir. Non l’aimer vraiment c’est accepter qu’il puisse partir ou être heureux auprès d’un autre que soi. Ça demande beaucoup de force et de courage ainsi qu’une énorme dignité. Mais c’est cela qu’aimer. L’amour n’a rien d’égoïste au contraire. Il est un parfait équilibre entre son amour et l’amour de l’autre. Puis, personne n’appartient à personne. On fait souvent cette erreur de penser que parce que l’on s’aime, on s’appartient. Mais c’est faux. Nous prouvons notre amour en étant libre de partir mais en préférant rester. Et nous prouvons notre amour également en laissant partir celui qui le souhaite. Car en voulant son bonheur, cela implique qu’il puisse l’être avec une autre personne. Aimer ce n’est pas posséder mais être dépourvu justement. Ceux qui diront qu’ils aiment et qu’ils se battent pour cet amour, mentiront et encore plus à eux même car ils auront peur de regarder la vérité en face. Ce sont des égoïstes. Rien de plus.  Aimer c’est laisse

  ><><><><><>< >< Gwen et le retour du passé >< C'était une soirée ordinaire, un mardi d'été où la chaleur étouffante s'attardait sur les rues bordées de platanes de ma petite ville. Les lumières des guirlandes installées pour la fête locale jetaient leur éclat coloré sur les façades des bâtiments, tandis que le parfum des fleurs en pleine floraison embaumait l'air. J'étais en route vers mon café préféré, un lieu où la fraîcheur de la climatisation et le parfum du café glacé avaient le pouvoir de calmer mon esprit agité. Ce soir-là, cependant, une sensation étrange m'accompagnait. Quelque chose que je ne parvenais pas à identifier. Peut-être était-ce la nostalgie accrue par cette période de festivités, ou peut-être simplement un pressentiment sourd. Mais lorsque je poussai la porte du café, la clochette tintant joyeusement au-dessus de ma tête, je sentis que tout allait changer. Je pris place à ma table habituelle